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Un partenariat afin de soutenir l'entrepreneuriat jeunesse

TROIS-RIVIÈRES, QC, le 13 déc. /CNW Telbec/ - Le Réseau québécois des écoles entrepreneuriales et environnementales (RQÉEE), partenaire du Défi jeunesse de la Stratégie d'action jeunesse 2009-2014 du gouvernement du Québec, lancée en mars 2009 par le premier ministre et ministre responsable des dossiers jeunesse, Monsieur Jean Charest, est heureux de s'associer à cette importante initiative et d'en souligner la grande pertinence.
En effet, le partenariat annoncé cet avant-midi entre le gouvernement du Québec, la Commission scolaire de l'Énergie, l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et l'Université de Sherbrooke, partenariat visant à intégrer la pédagogie entrepreneuriale à la formation pratique de futurs enseignants et conseillers d'orientation formés dans ces deux universités, constitue une initiative unique qui rejoindra, dans le cadre de ce projet qui se déroulera au cours des quatre prochaines années, 220 étudiants universitaires, dont une majorité d'enseignants.
Le RQÉEE, qui regroupe actuellement soixante-dix (70) écoles primaires réparties à travers tout le Québec et qui rejoint plus de 18 000 jeunes, considère qu'il s'agit d'un important premier pas attendu depuis plusieurs années de la part des universités québécoises dans la préparation de futurs enseignants et conseillers d'orientation qui sauront mettre en œuvre dans leur pratique la pédagogie entrepreneuriale. Au RQÉEE, nous considérons d'ailleurs cette pédagogie, et ce, depuis plusieurs années, comme un puissant facteur de motivation et de réussite scolaire. Ce qui fait de la stratégie de la pédagogie entrepreneuriale, une pédagogie où les jeunes jouent un rôle majeur et qui les rapproche de la vie réelle, un important facteur qui favorise la persévérance scolaire.
Cet important partenariat, en plus de préparer une relève qui soutiendra encore mieux les différents milieux scolaires dans le déploiement de stratégies pédagogiques entrepreneuriales, permettra la conduite d'une recherche-action qui viendra, au terme de ces quatre années de formation et d'expérimentation, documenter scientifiquement l'impact réel d'une telle pédagogie chez les jeunes, une pédagogie que nous considérions déjà, il y a plus de cinq ans, au Réseau québécois des écoles entrepreneuriales et environnementales (RQÉEE), comme un véritable antidote au décrochage scolaire. Renseignements:
Claude Ruel, Directeur général, RQÉEE

Rédigé à 06:17 dans Économie | Lien permanent | Commentaires (0)

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Soudure du manoir pourra acquérir de l'équipement spécialisé


De gauche à droite : M. Simon-Pierre Côté, directeur de comptes, Centre financier aux entreprises Desjardins de la Côte-du-Sud; M. Sylvain Blanchet et Mme Julie Boulet, propriétaires, Soudure du Manoir; M. Bernard Généreux, député de Montmagny–L’Islet–Kamouraska– Rivière-du-Loup à la Chambre des communes

Cap-Saint-Ignace (Québec), le 19 août 2010 – Le député de Montmagny–L’Islet–Kamouraska–Rivière-du-Loup à la Chambre des communes, monsieur Bernard Généreux, a annoncé aujourd’hui, au nom du ministre d’État de Développement économique Canada, l’honorable Denis Lebel, qu’une contribution remboursable de 80 000 $ sera versée à Soudure du Manoir inc. L’entreprise utilisera l’aide financière gouvernementale, qui a été consentie en vertu du Fonds d’adaptation des collectivités prévu dans le Plan d’action économique du Canada, pour acquérir l’équipement spécialisé nécessaire à l’accroissement de sa productivité. Le projet entraînera un investissement global de 200 000 $.
Connue sous le nom de Soudure du Manoir depuis 1991, l’entreprise de Cap Saint Ignace a été fondée en 1976. Elle se spécialise dans la fabrication sur mesure de produits haut de gamme en acier, en aluminium et inox, destinés à des clients commerciaux et institutionnels. « Pour Développement économique Canada, il est important de soutenir l’investissement matériel qu’effectuera Soudure du Manoir, d’autant plus que l’entreprise se spécialise dans la transformation des produits métalliques, secteur prioritaire pour l’économie de Chaudière-Appalaches, et que le projet se traduira par la création de deux emplois et le maintien de huit autres dans la MRC de Montmagny. En faisant l’acquisition de l’équipement de découpe à l’eau qui utilise la technologie la plus récente, Soudure du Manoir améliorera ses capacités stratégiques, sa productivité et sa rentabilité en plus de diversifier son carnet de commandes. Une intégration accrue de l’ensemble de ses activités de production et la pénétration de nouveaux créneaux de marchés sont également à prévoir», a déclaré Monsieur Généreux.
Le Fonds d’adaptation des collectivités, doté d’une enveloppe de 1 milliard de dollars, a pour objectif d’appuyer le processus d’adaptation aux conditions économiques actuelles et d’aider à créer ainsi qu’à conserver des emplois dans les régions et les collectivités les plus durement touchées par le ralentissement marqué de l’économie. À ce jour, environ 80 % des sommes ont été engagés dans plus de 1 000 projets partout au Canada. Pour plus de précisions sur le Plan d’action économique du Canada, consultez le site www.plandaction.gc.ca

Sources : François Bélisle

Rédigé à 06:35 dans MRC Montmagny, Économie | Lien permanent | Commentaires (0)

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L'entreprise coopérative: une expérience à vivre

SHERBROOKE, QC, le 24 mars /CNW Telbec/ - Suite à son succès l'été dernier, l'école des jeunes créateurs de coopérative (ÉJCC) accueillera, du 9 au 22 août 2010 sur le Campus principal de l'Université de Sherbrooke, une quarantaine de jeunes âgés de 18 à 35 ans. Ces jeunes leaders coopératifs pourront développer leurs habiletés coopératives. Monsieur Richard Lacroix, vice-président régional Cantons-de-l'Est Mouvement Desjardins, a accepté d'en être le président d'honneur : "Le Mouvement Desjardins est fier de s'associer à nouveau à l'école des jeunes créateurs de coopératives. Ce projet est un bel exemple de notre engagement auprès des jeunes, mentionne M. Lacroix. Il permet de promouvoir concrètement la formule coopérative auprès de la relève, une formule qui a depuis longtemps fait ses preuves", ajoute-t-il.
Réunis en groupe de trois à cinq personnes, les participants seront accompagnés par des spécialistes afin d'élaborer une simulation de démarrage de coopérative réaliste et rentable. Chaque projet sera présenté devant un jury à la fin de l'activité. De plus, les participants assisteront à un ensemble de conférences portant sur des thèmes associés à la création de coopératives et sa gestion. Des activités sportives complèteront ce programme afin de favoriser les échanges et de renforcer l'esprit d'équipe. "L'École a pour mission d'enrichir, de développer et de consolider le potentiel des jeunes entrepreneurs coopératifs", explique le professeur Gilles St-Pierre, directeur du Département de management et de gestion des ressources humaines à l'Université de Sherbrooke et cofondateur de l'ÉJCC.
En tant qu'organisatrice, la Coopérative de développement régional de l'Estrie (CDR Estrie) vise à promouvoir l'esprit coopératif chez les jeunes. "Au cours des deux semaines, les coopérateurs développeront les savoirs nécessaires au succès d'une démarche entrepreneuriale coopérative. Je souhaite vivement que cette initiative confirme leur souhait de créer une coopérative", souligne son directeur général, Janvier Cliche, qui est également cofondateur et promoteur de l'ÉJCC.
"Ce fut un deux semaines intenses en apprentissage coopératif et en relations humaines avec les autres participants, mentionne Guillaume Rivest, participant de l'ÉJCC en 2009. C'est une expérience unique que je recommande à tous les jeunes !"
L'École des jeunes créateurs de coopératives 2010 est organisée en partenariat avec le Mouvement Desjardins - Partenaire majeur, l'Université de Sherbrooke, le Secrétariat à la jeunesse ainsi que le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité (CQCM).

Rédigé à 06:18 dans Économie | Lien permanent | Commentaires (0)

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Subventions au Cégep pour favoriser la collaboration avec des entreprises locales

La Pocatière, le 18 juin 2010 – Le Cégep de La Pocatière travaillera en collaboration avec la collectivité et les entreprises locales afin de commercialiser les résultats des travaux de recherche novateurs effectués sur leur campus. Aujourd’hui, M. Bernard Généreux, député pour Montmagny-L’Islet-Kamouraska-Rivière-du-Loup, a célébré le nouvel investissement annoncé le 31 mai dernier par l’honorable Gary Goodyear, ministre d’État (Sciences et Technologie). Le soutien financier permettra au Cégep de La Pocatière d’établir un partenariat avec une entreprise locale qui visera le développement d’un aidant virtuel, soit un système complet à intelligence artificielle. Ce système intégrera plusieurs technologies de surveillance qui prendront en charge automatiquement de nombreuses tâches et qui permettront de donner un répit important et une tranquillité d’esprit aux aidants naturels et au personnel soignant. « Notre gouvernement appuie l’innovation, puisque celle-ci contribue à créer des emplois, à améliorer la qualité de vie des Canadiens et à renforcer l’économie, a indiqué M. Généreux. Nous appuyons des projets dans les collèges du pays afin d’accroître la compétitivité des petites et moyennes entreprises et d’aider de jeunes Canadiens à se préparer aux emplois de demain. » L’honorable Gary Goodyear, ministre d’État (Sciences et technologie) a annoncé près de 15 millions de dollars le 31 mai 2010 en vue d’appuyer douze nouveaux projets. Les fonds sont versés en vertu du Programme d’innovation dans les collèges et la communauté, lequel est administré par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada. Le Programme est une initiative conjointe du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada et des Instituts de recherche en santé du Canada. Établi par le gouvernement du Canada dans le budget de 2007, le Programme permet aux établissements d’enseignement collégial de développer ou d’élargir leurs activités de transfert des résultats de la recherche dans leurs collectivités grâce à des partenariats avec des entreprises locales, en particulier des petites et moyennes entreprises. À l’issue d’un concours fondé sur l’évaluation par les pairs, douze projets ont été retenus à des fins de financement. Ils recevront chacun une subvention pour une durée de deux à cinq ans. Ces projets s’ajoutent aux 22 autres projets annoncés en 2009. « Le Programme d’innovation dans les collèges et la communauté fait fond sur d’autres initiatives qui favorisent la collaboration entre l’industrie et les établissements d’enseignement postsecondaire, a affirmé Suzanne Fortier, présidente du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, qui administre le programme. Il encourage les collèges à travailler de concert avec leur collectivité, en vue d’assurer le transfert de leurs compétences au profit des habitants et des entreprises de la région. Le programme aura une incidence positive sur la rentabilité des activités des entreprises locales, qui jouent un rôle prépondérant dans l’économie par l’entremise des personnes qu’elles emploient et des biens et des services qu’elles offrent. » Le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada est un organisme fédéral dont la vision est d’aider à faire du Canada un pays de découvreurs et d’innovateurs, au profit de tous les Canadiens. Il appuie quelque 28 000 étudiants universitaires et stagiaires postdoctoraux dans leurs études supérieures. Le Conseil fait la promotion de la découverte en offrant un appui financier à plus de 11 800 professeurs d’université chaque année et favorise l’innovation en incitant plus de 1 500 entreprises canadiennes à investir dans les projets de recherche des établissements postsecondaires et à y participer. Le document d’information comprend plus de renseignements sur le Programme d’innovation dans les collèges et la communauté et sur les douze projets financés.

Source: Annie Francoeur

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Voitures de métro: plusieurs voix s'élèvent pour que le contrat soit attribué au consortium Bombardier-Alstom

Montréal, le 8 avril 2010 - La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce Kamouraska-L'Islet (CCKL) joignent leur voix aux employés de Bombardier et d’Alstom qui se rassemblent aujourd’hui à La Pocatière et à Sorel-Tracy afin de presser la Société de transport de Montréal, pour que le contrat de construction des 765 nouvelles voitures de métro soit attribué au consortium Bombardier-Alstom.
« Plusieurs régions du Québec bénéficieront des retombées économiques de ce contrat. Ce sont des milliers d’emplois potentiels partout au Québec, notamment chez des sous-traitants. Au sortir de la crise, nous devons appuyer des entreprises dont l’expertise a été développée au Québec, pouvant servir plusieurs réseaux de fournisseurs, qui rayonnent aujourd’hui partout sur la planète et qui constituent une superbe vitrine à l’étranger, » estime Françoise Bertrand, présidente-directrice générale de la FCCQ.
Participant à la manifestation hier midi à La Pocatière, le président de la Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet croit que « l’attribution de ce contrat à Bombardier-Alstom est essentielle au développement de notre économie régionale, déjà fort touchée par la crise. Nos travailleurs sont formés et compétents pour répondre aux besoins en main-d’œuvre du consortium, » ajoute monsieur Laurent Dubé.
« Alors que le processus d’appel d’offres semble avoir été respecté et que le consortium répond aux demandes de la STM, je ne vois pas pourquoi il faudrait encore retarder le début de la construction puisqu’il y a urgence. Les wagons du métro ont largement dépassé leur durée de vie et coûtent de plus en plus chers à entretenir. Leur remplacement est urgent, » conclut Françoise Bertrand.
En attribuant le contrat au consortium Bombardier-Alstom, la STM consoliderait près de 12 000 emplois au Québec.

Source: Bruno-Serge Boucher

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Formation offerte aux entreprises: recruter et conserver son personnel

Lévis, le 30 mars 2010 - Les 20 et 27 avril prochains, la formation « Recruter et conserver son personnel, ça s’apprend » sera offerte aux entreprises de la région de L’Islet ainsi qu’aux entreprises de Montmagny les 11 et 18 mai. Cette formation de deux jours non consécutifs portera sur les thèmes du recrutement, de la sélection et de l’intégration de personnel. À la suite de cette formation, un accompagnement individualisé de trois heures sera également proposé aux participants afin d’assurer la bonne mise en pratique des notions apprises.
Malgré la situation économique, où le bassin de chercheurs d’emploi est plus grand, les dirigeants des entreprises en Chaudière-Appalaches commencent à ressentir le poids des départs à la retraite annoncés depuis quelques années. À ce phénomène s’ajoutent la diminution prévue du nombre de nouveaux arrivants sur le marché du travail et, surtout, la rareté de plus en plus évidente des travailleurs qualifiés. En réponse à ces problématiques, les Centres locaux d’emploi (CLE) de la région Chaudière-Appalaches ont initié cette formation à l’intention des dirigeants d’entreprises et des responsables des ressources humaines
L’offre d’Emploi-Québec s’adresse principalement aux PME de moins de 50 employés, lesquelles peuvent éprouver plus de difficultés que les grandes entreprises pour le recrutement et la rétention de leurs ressources humaines
Le soutien financier d’Emploi-Québec permet de limiter à 100 $ plus taxes le coût de participation par entreprise pour un maximum de deux participants.
Les personnes qui désirent s’inscrire ou obtenir plus d’information sur la formation doivent contacter Mme Lucie Côté de Développement PME au 418 839-8786, poste 221 ou visiter le site Internet suivant : www.developpement-pme.qc.ca. Pour plus d’information sur la logistique reliée à l’activité, veuillez joindre Mme Sonia Forbes, conseillère aux entreprises, au 418 248-0163.

Source: Amélie Bouillon

Rédigé à 05:56 dans Côte-du-Sud, Économie | Lien permanent | Commentaires (0)

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100 000 $ pour tourner la page sur la crise de la listériose

Québec, le 26 mars 2010 – Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. Robert Dutil, a annoncé le versement d’un crédit spécial de 25 000 dollars par entreprise à la Société coopérative agricole de L’Isle-aux-Grues et à la Fromagerie Blackburn ainsi que l’attribution d’une aide financière ponctuelle supplémentaire de 75 000 dollars pour chacune d’elles.
« La Société coopérative agricole de L’Isle-aux-Grues et la Fromagerie Blackburn ont été durement touchées au moment de l’épisode de la listériose en 2008. Je suis très heureux de cette annonce qui vient confirmer l’appui du MAPAQ aux fromageries. Dans de telles situations, le mot ″appui″ prend tout son sens », a déclaré le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.
L’aide consentie provient du Programme d’aide spéciale aux petites fromageries. Le crédit spécial de 25 000 dollars permettra de diminuer la participation financière de la Société coopérative agricole de L’Isle-aux-Grues et de la Fromagerie Blackburn pour la réalisation de projets admissibles aux programmes de la Stratégie de soutien à la transformation alimentaire. L’aide financière ponctuelle de 75 000 dollars est accordée en considération des divers travaux effectués ou à terminer dans les deux fromageries.
« Nous travaillons fort pour offrir un produit de qualité aux consommateurs québécois et c’est pourquoi je suis heureux de l’aide consentie puisqu’elle témoigne la reconnaissance que le Ministère manifeste à notre égard », a mentionné M. Christian Vinet de la Société coopérative agricole de L’Isle-aux-Grues.
Dans la même perspective, M. Gilles Blackburn, de la Fromagerie Blackburn, a souligné l’importance que revêt cette annonce : « La crise de la listériose a été une période très difficile pour notre entreprise. En ce sens, l’annonce d’aujourd’hui nous permettra maintenant de tourner la page.», a-t-il précisé.
Pour obtenir de plus amples renseignements sur les programmes de la Stratégie de soutien à la transformation alimentaire, on peut consulter le site Internet du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation à l’adresse www.mapaq.gouv.qc.ca/Fr/Transformation/md/Programmes/Strategie/.
En outre, pour en savoir davantage sur le Programme d’aide spéciale aux petites fromageries, on se rendra également dans le site Internet du Ministère au www.mapaq.gouv.qc.ca/Fr/Transformation/md/Programmes/Aidepetitesfromageries.htm.

Source: Pascal D’Astous

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Une vision d'avenir pour les entreprises d'économie social en aide domestique

Lévis, le 26 mars 2010 – Sous le thème Tous ensemble pour se donner une vision d’avenir, la Fédération des coopératives de services à domicile et de santé du Québec (ci-après nommée la Fédération), a tenu son colloque provincial les 24 et 25 mars à Drummondville. Près d’une centaine de participants, soit la majorité des entreprises d’économie sociale en aide domestique (EÉSAD), des coopératives, des OSBL, des membres et non-membres de la Fédération, ainsi que plusieurs partenaires et ministères ont participé à cet exercice d’échanges et de réflexion sur le rôle que ces entreprises jouent dans la société québécoise et à la place qu’elles y occuperont pour les 10 prochaines années.
« Dans un contexte où la demande pour des services diversifiés est en progression, les EÉSAD sont appelées à jouer un rôle central dans leur communauté et elles devront élargir leur panier de services pour répondre à cette demande. L’expertise et la volonté des entreprises et du secteur vont permettre de relever ces défis importants », a indiqué hier M. Robert Brouillard, président de la Fédération.
Toutefois, si elles veulent continuer à offrir des services de qualité tout en répondant à la demande grandissante des besoins, il faut consolider les EÉSAD. Celles-ci possèdent un potentiel de développement extraordinaire, mais elles sont conscientes qu’elles doivent rentabiliser chacun des services pour bien desservir leurs clientèles. « Il devient donc impératif de travailler davantage en complémentarité avec les organismes concernés par ce secteur et de maintenir et accentuer les collaborations avec les différents partenaires et ministères », ajoute M. Brouillard.
À ce titre, les représentants de quatre ministères ont partagé aux participants leur vision du secteur des services à domicile soit : le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire (MAMROT), le ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation (MDEIE), et le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MESS). Compte tenu de la situation démographique actuelle (vieillissement de la population, besoin des jeunes familles) et des besoins croissants de la population en matière d’aide et de soutien à domicile, les ministères reconnaissent que les défis à relever seront grands au cours des prochaines années. Tout comme les participants, ils ont également souligné l’importance de travailler en partenariat avec les divers acteurs des milieux afin de relever ces défis et ont rappelé l’importance du rôle des EÉSAD.
La formation de la main-d’oeuvre, le recrutement, l’amélioration des conditions de travail et la reconnaissance de l’expertise de milliers de personnes qui s’activent tous les jours pour offrir les meilleurs services aux usagers, étaient aussi parmi les éléments de discussion de ces deux jours de réflexion.
La Fédération regroupe 50 coopératives et OSBL de services à domicile qui offrent des services d’aide domestique et d’assistance à la personne à plus de 35 000 usagers à travers le Québec. Ce réseau livre annuellement plus de 2,6 millions d’heures de services par l’entremise d’environ 3000 employé(e)s. La Fédération regroupe également des coopératives de santé qui comptent environ 18 000 membres et offrent des services de prévention et de soins de santé pour des collectivités du Québec.

Source : Pauline Chauvette, responsable des communications

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Une reprise semée d'embûches

TORONTO, le 18 mars /CNW/ - Selon un nouveau rapport publié par les Services économiques TD, les mesures exceptionnelles prises pour ranimer l'économie mondiale ont atteint leur principal objectif, mais elles ont engendré d'autres difficultés qui limiteront la croissance.
"Au départ, les banques centrales et les autorités publiques ont réagi à la crise financière comme une équipe de traumatologie dont l'objectif est de ranimer le patient et de le stabiliser, affirme Craig Alexander, économiste en chef adjoint du Groupe Financier Banque TD. Énergiques et coordonnées, les mesures de stimulation budgétaire et monétaire ont eu l'effet escompté. À défaut d'empêcher la contraction de l'économie, l'intervention a permis d'éviter une récession plus profonde et a jeté les bases de la reprise."
Risque d'inflation pour les marchés en émergence
Le scénario a depuis évolué différemment dans les pays développés et dans les pays en développement. Les marchés émergents d'Asie hors Japon et d'Amérique latine ont été touchés moins directement par la crise financière et la récession, la plus grande partie du ralentissement économique étant dans leur cas imputable à leur exposition aux autres économies avec qui ils entretiennent des échanges commerciaux et financiers. Après que la situation financière a été stabilisée et que le plongeon de la demande mondiale a été ralenti, la production a repris dans ces régions. De plus, la valeur des exportations des économies émergentes axées sur les produits de base s'est considérablement accrue à la faveur d'une remontée des prix de ces produits. Il s'ensuit que les marchés émergents seront probablement le principal moteur de la croissance économique mondiale en 2010 et en 2011. Cependant, Craig Alexander lance un avertissement : "De nombreuses économies en émergence n'ont plus besoin des mesures de stimulation budgétaire et monétaire exceptionnelles mises en uvre un peu partout dans le monde. Les deux années qui viennent seront marquées par la nécessité pour ces pays, notamment pour la Chine, d'alléger les mesures de stimulation budgétaire en fonction de l'expansion économique pour éviter toute poussée inflationniste ou montée excessive du prix des actifs."
L'ampleur des déficits budgétaires dans les pays développés exige une délicate opération de rééquilibrage
Le scénario est très différent dans les économies avancées où la reprise est beaucoup plus lente qu'à l'habitude. Il est troublant de constater que les politiques mises en uvre pour lutter contre la crise ont créé une nouvelle série de problèmes, les énormes déficits budgétaires en Europe, aux États-Unis et au Japon représentant la principale difficulté. L'effet des mesures de stimulation budgétaire s'estompera peu à peu, ce qui commencera à entraver la croissance économique dans de nombreux pays dès 2011. Ce ralentissement se produira même en l'absence de toute mesure formelle de retour à une plus grande rigueur budgétaire. La demande privée devrait augmenter peu à peu à mesure que la reprise économique prendra de l'élan, mais dans le scénario le plus probable, la croissance économique devrait rester modérée, car les administrations en place commenceront à s'attaquer à leur déficit budgétaire dès 2011. "Le rééquilibrage de la politique monétaire exigera aussi beaucoup de doigté, selon M. Alexander. Une hausse trop brutale des taux d'intérêt freinera l'élan de la reprise. Par ailleurs, une majoration trop tardive créera un risque d'inflation. Dans un cas comme dans l'autre, la volatilité des marchés s'accentuera."
Retombées au Canada et aux États-Unis
Les économies canadienne et américaine devraient afficher un taux de croissance de près de 3 % en 2010 et en 2011. Ce taux très ordinaire annonce une reprise plus lente que celles consécutives à de nombreuses récessions du passé.
Aux É.-U., le marché immobilier restera faible et la croissance des dépenses de consommation sera limitée. Le processus de désendettement dans lequel sont engagés les particuliers et le système financier sera long. Au Canada, parmi les facteurs qui contribueront à la lenteur inhabituelle de la reprise, mentionnons la croissance limitée de la demande américaine pour les exportations canadiennes, la vigueur du dollar canadien, le refroidissement du marché immobilier intérieur et la croissance limitée des dépenses des consommateurs amenée par leur fort niveau d'endettement.
L'inévitable retour à l'équilibre budgétaire s'ajoutera à ces facteurs restrictifs limitant la croissance. L'ampleur de la stimulation de la politique monétaire devra aussi un jour être réduite. On s'attend à ce que la Banque du Canada commence à majorer ses taux progressivement en juillet, tandis qu'aux États-Unis, la Réserve fédérale devrait attendre jusqu'au début de 2011. "L'essentiel est qu'on a réussi à ranimer les économies américaine et canadienne, mais qu'elles demeureront en convalescence pendant encore un certain temps, constate Alexander. De plus, il serait imprudent de notre part de négliger toute l'incertitude qui entoure la réforme du système financier. Tout le monde s'entend pour dire qu'une réforme du système financier mondial s'impose et que pour être efficace, cette réforme devra être concertée à l'échelle mondiale, ajoute-t-il. Toutefois, il existe un risque réel qu'elle soit au contraire mise en uvre à la pièce, qu'elle soit excessive ou qu'elle varie fortement d'un pays à l'autre."
Le message clé du rapport est que la reprise mondiale sera soutenue, mais que de nombreux risques persistent. Les projections des Services économiques TD annoncent une forte croissance en Asie hors Japon et en Amérique latine et une croissance économique modérée au Japon, en Europe et en Amérique du Nord en 2010 et en 2011. Toutefois, ces prévisions ne doivent pas faire abstraction de la volatilité qui viendra probablement perturber les statistiques économiques et financières mensuelles et trimestrielles. Elles masquent aussi les défis incroyables auxquels sont confrontés les décideurs en matière de politique monétaire, budgétaire et réglementaire.

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Vacances en mars: pas le temps, pas d'argent, trop de stress

TORONTO, le 4 mars /CNW/ - Partir en vacances lors du congé du mois de mars n'est plus au programme en 2010 pour de nombreux parents canadiens, plus soucieux qu'avant du temps, de l'argent et du stress. Selon les réponses du troisième sondage annuel mené par le Programme de récompense AIR MILES(md) au sujet du congé du mois de mars, soixante-dix-neuf pour cent des parents ne prendront pas de vacances à cette période. De ces répondants-là, cinquante-deux pour cent disent qu'ils prendront plutôt des vacances plus tard dans l'année et une personne sur trois avoue tout simplement ne pas avoir les moyens de partir.
"Les Canadiens abordent le congé de mars 2010 différemment, après une année de conditions économiques difficiles", observe Neil Everett, vice-président et directeur des services de marketing du Programme de récompense AIR MILES. "Notre sondage indique que le nombre de répondants ayant l'intention de prendre des congés ou de partir en vacances lors du congé du mois de mars est en baisse, alors que le nombre de parents qui prévoient des activités près de chez eux est en hausse. En 2010, l'option de rester à la maison est encore populaire auprès des familles canadiennes."
Puisque tant de familles restent à la maison cette année pour le congé du mois de mars, les parents pensent aux moyens d'occuper leurs enfants - une personne sur cinq se sent contrainte à planifier des activités pour leurs enfants en cette période et de ces parents-là, quatre-vingts pour cent s'inquiètent des frais qu'elles entraîneront. Par conséquent, plus de la moitié des répondants ont l'intention de rester simples, sans faire de grands préparatifs, et seulement trois pour cent ont dit avoir fait de projets, à un mois de la relâche. Par ailleurs, selon le sondage, une famille sur cinq compte utiliser ses milles ou points de récompense pour couvrir les frais des activités de la semaine du congé du mois de mars.
M. Everett poursuit : "Comme par le passé, certaines familles canadiennes comptent sur les récompenses de leur programme de fidélisation pour compléter leur budget de vacances; dans certains cas, ce sont même les milles de récompense accumulés qui financent l'ensemble des vacances. Le portefeuille des récompenses AIR MILES, qui met l'accent sur les divertissements en famille, peut aider les familles à organiser, facilement et en un seul endroit, leur semaine de congé du mois de mars, car il offre une vaste gamme d'activités, d'excursions d'une journée, d'attractions, de restaurants et de divertissements qui rendront ces congés inoubliables."
À propos du sondage
Ces résultats se basent sur 1 060 entretiens en ligne avec des Canadiens âgés de 18 ans et plus. Les entretiens ont eu lieu du 11 au 14 février 2010. La taille de l'échantillon garantit, à 95 pour cent, que les résultats d'ensemble tombent dans la limite de plus ou moins 3 points de pourcentage du résultat qui aurait été obtenu si la totalité de la population canadienne avait été sondée. La marge d'erreur sera plus élevée pour les sous-groupes de l'échantillon ciblé pour le sondage.

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