Première rangée, de gauche à droite : Marie-Andrée Gilbert, directrice Tristan Patoine, St-Anselme Jimmy Brisson, St-Anselme Maxime Leclerc, St-Anselme Dannie Larose, du CLSC Deuxième rangée : Josée Chénard, enseignante Robert Desrochers, Métro de Lévis Éric Deschênes, directeur adjoint Mireille Brousseau, animatrice de la vie spirituelle et de l’engagement communautaire
Montmagny, le 20 décembre 2011 — Le Fonds Métro Éco-École a récemment versé 1 000 $ aux élèves de l'école secondaire de Saint-Anselme pour leur projet « Récupérons et réparons des vélos ». Ce projet s’est concrétisé sous forme d'un atelier qui se déroule à l’école même, sur l'heure du diner. Les élèves intéressés par la mécanique des vélos peuvent venir apprendre à les réparer, à en ajuster les freins ou encore, à remplacer des roues. Ce travail de réparation et de récupération est exécuté sur des vélos dont la population a fait don à l’atelier. Déjà, pas moins d’une trentaine de vélos ont été recueillis. De ce nombre, dix ont été réparés et sont prêts à être vendus. Le prix de vente couvre l’achat des pièces de rechange.
L'objectif de cette initiative environnementale est de réduire le nombre de vélos mis aux ordures ou abandonnés dans le fond d’une remise ou d’un garage. L'atelier « Récupérons et réparons des vélos » est supervisé par des enseignants et par la travailleuse sociale de l'école. Il est évident que plusieurs élèves apprécient cette activité qui meuble agréablement l’heure du dîner, tout en leur inculquant des valeurs d’entraide et de responsabilisation face à l’environnement.
Métro aura investi 1 M$ cette année en décernant des bourses de 1 000 $ à chacune des écoles primaires et secondaires de la province impliquées. Le Fonds Métro-Éco École a pour but d’encourager la création d’un environnement plus sain et le mieux-être collectif. Depuis son lancement à l’automne 2009, le projet a mobilisé des milliers de jeunes dans toutes les régions du Québec, les encourageant à s’impliquer dans leur école et à faire une différence dans leur communauté.
Source: Serge Mathurin
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